Rebecq-Rognon (Rebecq), Walloniƫ - Waals-Brabant
- Naam
- Moulin d'Arenberg, le Grand Moulin
- Ligging
- Rue Docteur Colson 8
1430 Rebecq-Rognon (Rebecq)
op de Zenne
kadasterperceel B79
Walloniƫ - Waals-Brabant
- Geo positie
- 50.664116, 4.132235 (Google Streetview)
- Eigenaar
- Gemeente Rebecq
- Gebouwd
- voor 1475 / 1859
- Type
- Middenslag watermolen
- Functie
- Korenmolen
- Kenmerken
- Omvangrijk bakstenen gebouw
- Gevlucht/Rad
- Middenslagrad, diameter 7,5 m
- Inrichting
- Nog compleet
- Toestand
- Ingericht als museum
- Bescherming
- M: monument, DSG: dorps- en stadsgezicht,
29.02.1997 - Molenaar
- Geen
- Openingstijden
- Weekends in de zomer. Info: tel. 067 63 82 32 (Office de Tourisme)
- Database nummer
- 508
Karakteristiek
Beschrijving / geschiedenis
L'existence d'une meunerie sur le site actuel des moulins commmunément appelés d'Arenberg remonte à la nuit des temps. les premières traces d'un monlin à Rebecq se trouvent dans un compte de la Maison princière d'Enghien de 1347. Ce moulin appartenait à cette famille qui en possédait les droits de banalité. Ce moulin fonctionnait avec deux couples de meule et ne moulait essentiellement que le seigle et le méteil.
Tous les six ans, il s'organisait une criée ou "prisée" destinée à remettre en jeu le bail locatif. Une évaluation de l'état des installations était alors diligentée par un charpentier et un maréchal-ferrant patentés qui estimaient tant les améliorations faites par le bailleur sortant que l'usure et/ou les dégâts occasionnés par ce dernier au cours de sa location. Le montant de la rente était alors fixé et la criée pouvait alors se faire. En général, le meunier sortant ou un membre de sa famille, s'il était décédé entretemps, soumissionnait pour poursuivre la location.
En 1756, un nommé Jean-François Wyvekens se porta candidat à l'occupation du moulin, que le précédent locataire quittait définitivement. Il remporta la criée et proposa au duc d'Arenberg de construire un moulin jumeau sur le côté opposé de la rivière. Le duc accepta, il payerait pour la construction du bâtiment, et la machinerie, ainsi que toute la vantellerie (les vannes) seraient à charge du nouveau meunier.
La descendance de Jean-François Wyvekens entretint les moulins pendant plus d'un siècle. Pendant leur exercice, les moulins de Rebecq acquirent une telle notoriété pour la farine qu'on y produisait que l'on venait de loin pour y moudre son grain. C'est ainsi que le grand-père du Père Damien, venait régulièrement à Rebecq avec ses céréales à faire moudre.
Le grand moulin fut détruit par un incendie en 1853. Sa reconstruction dura cinq années au cours desquelles, les héritiers Wyvekens fonctionnairent avec seulement le petit moulin qui produisait de la farine de froment, grâce aux quatre couples de meules qui y avaient été montées par Jean-François, en 1756.
En 1868, le duc d'Arenberg régnant ayant perdu ses privilèges féodaux depuis la Révolution Française, se défit de ses moulins et les vendit au fermier voisin, Valentin-Joseph Minne, qui y mit son fils Léon-Désiré.
Celui-ci les fit fonctionner en améliorant peu à peu les installations et en construisant une cour et des écuries au petit moulin.
Les moulins de Rebecq furent repris par le beau-fils de Léon-Désiré Minne, Léon Lejour. Il perfectionna l'installation du petit moulin en y remplaçant en 1925, la roue hydraulique en bois par la turbine du moulin de Quenast qui avait été détruit par un incendie en 1910 et qui n'avait pas été reconstruit.
Il installa également en 1915, une machine à vapeur au grand moulin afin d'y produire de la soie artificielle. Mais cette fabrication ne remporta pas le succès escompté et on y fabriqua dès lors, et jusqu'à la cessassion des activités meunières, de l'alimentation pour bétail.
Il décède en 1943. Son épouse, Marie Lejour-Minne continuera à faire fonctionner les moulins, grâce à la présence du personnel qualifié qui y travaillait. A son décès, en 1956, les moulins furent vendus à Joseph André, le dernier meunier qui poursuivit la meunerie jusqu'en 1973. La commune de Rebecq rachètera l'ensemble du site afin de le consacrer au tourisme.
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De Moulin d'Arenberg is een omvangrijke molen langsheen de Zenne in het centrum van Rebecq, die voor 1475 werd gebouwd. De molen behoorde toe aan de hertogen van Arenberg.
Eigenaars na 1830:
- voor 1834, eigenaar: d'Arenberg, prins en eigenaar te Brussel
- later, mutatie: a) Aldobiadini don Pierre, eigenaar te Rome en b) Aldobiadini donna Elisabeth, eigenares te Rome
- 16.04.1864, verkoop: d'Arenberg Englebert Auguste Antoine eigenaar te Recklinghauwen (D) (onderhandse akte)
- 29.09.1868, verkoop: Mine-Huart Valentin Joseph, landbouwer te Rebecq-Rognon (notaris Saliez)
- 18.04.1876, verkoop: a) Minne Léon (voor 1/10), b) Minne Adèle (voor 1/10), c) Minne Odile (voor 1/10), d) Minne Louise (voor 7/20) en e) Minne Paul (voor 7/20) (notaris Brulé)
- 18.04.1876, deling: Minne Paul, zonder beroep te Rebecq-Rognon (notaris Brulé)
- 18.04.1876, deling: Minne-Devroede Léon, zonder beroep te Rebecq-Rognon (notaris Brulé)
- 20.02.1891, erfenis: de weduwe en kind (kind = Lejour-Minne Léon Aimé Marie Eugène, molenaar te Rebecq-Rognon (overlijden van Léon Minne)
- 09.01.1939, erfenis: Lejour-Minne Léon Aimé Marie Eugène, molenaar te Rebecq-Rognon (overlijen van de weduwe van Léon Minne)
- 16.01.1943, erfenis: de weduwe (overlijden van Léon Lejour)
- 22.04.1956, erfenis: de kinderen (overlijden van de weduwe van Léon Lejour)
- 21.11.1957, verkoop: André Joseph Fernand, handelaar te Rebecq-Rognon (notaris Potvin - magazijn)
- 13.08.1974, verkoop: Gemeente Rebecq-Rognon
Voor 1830 kwam er een tweede graanwatermolen bij, zodat een dubbelmolen gevormd werd. Afgebrand in 1858 maar onmiddellijk daarna herbouwd. Rond 1900 was in de molen een zijdefabriek gevestigd, die ook de waterkracht gebruikte. Daarna werd hij opnieuw als graanmolen ingericht. De laatste molenaar was Joseph André. Hij maalde tot in 1974 en verkocht de molen dan aan de gemente Rebecq-Rognon.
De molen werdin 1974 verkocht aan de gemeente Rognonn die hem inrichtte als museum voor lokale geschiedenis, volkskunde en industriële archeologie. In 1997 werden beide Arenbergmolens beschermd als monument en samen met hun omgeving als site.
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Parmi les fleurons du patrimoine rural du Brabant wallon, on distingue le Grand et le Petit Moulin dont les plus anciennes traces d'existence remonteraient à 1467. Situés de part et d'autre des chites de la Senne, ils appartenaient aux Seigneurs de Rebecq et notamment dés 1606, aux Ducs d'Arenberg.
Le Grand Moulin
Loué aprés 1815 à la famille Minne, originaire d'Autriche, le Grand Moulin fut agrandì en 1852. Vers 1910, Monsieur Lejour-Minne retira les meules et le transforma en fabrique de soie artificielle, utilisant l'éenergie hydraulique et une machine à vapeur dont la cheminée se profile encore dans le paysage. Cette expérience industrielle fut de courte durée et le local sera ensuire affecté au stockage du grain et à l'aplatissemente de l'avoine. La roue extérieure mesure 7,50 m de diamétre. La levée des vannes permet d'entrainer le mécanisme intérieur. Il fonctonna jusqu'en 1964 et fut racheté en 1974 par la Commune de Rebecq. Aujourd'hui, le Grand Moulin est un lieu prestigeux qui accueille des exspositions. Le rez-dechaussée a conservé son imposante machinerie. Quant au premiere étage, le musée du Porphyre et des Carriéres témoigne du passé et du présent industriel de toute une région.
Classé comme monument le 29 février 1997: deux anciens moulins d'Arenberg, actuellement musée, machineries et vannes qui les relient, rue Docteur Colson, n° 6 et comme site: les alentours comprenant les immeubles et terrains bordant la Senne, rue Docteur Colson n°s 2 à 6, rue du Pont n°1 et rue du Beau Site
Aanvullende informatie
Vincent Galuszka, "Les moulins du Hainaut sont au... moulin d'Arenberg, à Rebecq", Le Soir, 27.05.1989.
Quel plus bel endroit que le moulin d'Arenberg pour accueillir l'exposition Les Moulins en Hainaut? Pour son premier déplacement en dehors de la province hennuyère, cette rétrospective historique ne pouvait pas mieux tomber qu'à Rebecq (1). Après Les enceintes urbaines en Hainaut, voici la deuxième exposition que le cercle Hannonia monte en collaboration avec le Crédit Communal.
Hannonia est une association qui regroupe les différents cercles d'histoire et d'archéologie du Hainaut, et qui coordonne leurs travaux. Ensemble, ils mettent leur recherche à profit pour se lancer dans des opérations à envergure provinciale. Les expositions ne représentent qu'une partie de leur travail. Celui-ci se concrétise surtout dans le volumineux catalogue qui les accompagne. A lui seul, il synthétise la somme des connaissances actuelles sur le sujet.
L'artisan des Moulins en Hainaut, c'est Gérard Bavay. C'est lui qui a coordonné les travaux, qui a recueilli l'iconographie et qui a monté l'exposition.
Le moulin, dit-il, c'était un endroit important pour la communauté villageoise. C'est là que tout le monde se retrouvait pour moudre le grain, c'était une clef essentielle de toute l'économie agricole. Un lieu économique et social de premier plan. Ce qui explique l'importance des termes de meunerie dans le vocabulaire courant: «tout fait farine au moulin», «une seconde mouture»...
Voilà pourquoi le moulin occupe une grande place dans notre imaginaire collectif. Il est devenu le symbole romantique d'un passé révolu. C'est également un endroit très spécifique, poursuit M. Bavay. Un édifice construit selon une architecture très particulière, une particularité que l'on retrouve dans la mentalité des gens qui y travaillaient. La corporation des meuniers a ses règles propres.
La première mention d'un moulin hennuyer date de 861. Aujourd'hui, il en reste deux cents. Ce qui est peu. D'autant plus qu'on peut estimer que la moitié d'entre eux sont voués à une disparition prochaine...
Une iconographie importante permet de tout savoir sur les fonctions du moulin, sur les différents types de moulin (à vent, à eau, à bras,...). On y trouve des cartes anciennes, des peintures, des planches extraites des fameux Albums de Croy. On peut également s'arrêter sur des photographies de moulin encore debout, comme à Ellezelles, Braine-le-Comte, Bernissart, Warneton,...
Bonsaïs
Malheureusement, cette exposition est fort sollicitée. Elle devra quitter les murs du moulin d'Arenberg la semaine prochaine. Il vous reste donc un week-end pour aller la voir. Pour combler ce départ précipité, Mme Joinneau, le conservateur du moulin d'Arenberg, a prévu une exposition sur les bonsaïs, les arbres nains d'origine japonaise (2).
(1) Au moulin d'Arenberg, rue Docteur Colson, jusqu'au 28 mai inclus, le week-end de 14 à 19 heures.
(2) Le week-end des 3 et 4 juin, de 14 à 19 heures.
Jennifer Wuilquot, "Rebecq. A la découverte des moulins. Patrimoine de l'ouest: conférence à ne pas manquer", Le Soir, 25.05.1998.
Intéressante conférence en perspective que celle qui se tiendra ce vendredi à 20heures à Rebecq (1).
Les moulins font partie intégrante du patrimoine de Rebecq et des communes environnantes, notamment Braine-le-Château et Tubize. Au fil des ans, il nous ont rendu de précieux services, il est donc normal de leur rendre un hommage bien mérité.
Licencié en histoire de l'art de l'ULB, Yves Devos a suivi il y a quelque temps les cours de guide-accompagnateur dispensés par la province afin de rejoindre l'équipe de guides du syndicat d'initiative rebecquois.
A la fin des cours, nous avions à présenter un travail consacré à une partie du tourisme en Brabant wallon, se souvient Yves Devos. Habitant Rebecq et passant pas mal de temps au moulin d'Arenberg, je me suis dit: «Pourquoi pas les moulins?»
La conférence de vendredi sera basée sur ce travail dédié aux moulins des quatre communes du plan de reconversion. L'industrialisation fort développée et la multiplication des cours d'eau ont permis à une époque la prolifération des moulins dans l'ouest de la province.
La meunerie était importante dans les villages, poursuit Yves Devos; de plus, il ne faut pas perdre de vue que les moulins étaient quasiment la seule source d'énergie avant l'arrivée de l'électricité et de la vapeur.
TRENTE MOULINS A EAU ET A VENT
La conférence se déclinera en deux phases. La première partie sera consacrée à l'histoire des moulins et à leur développement dans notre région, tandis que la seconde partie retracera un circuit à travers l'ouest, à la découverte des moulins aussi bien à vent qu'à eau.
Si certains d'entre eux sont très connus comme le moulin d'Arenberg, le moulin d'Hondzocht, à Saintes, ou encore le moulin banal de Braine-le-Château, il en existe plusieurs autres, plus discrets, mais dont l'histoire est tout aussi intéressante, précise le conférencier.
Actuellement, il reste vingt-quatre moulins à eau et cinq ou six moulins à vent dont le plus connu est sans aucun doute celui d'Hondzocht.
Une soirée qui s'annonce donc du plus grand intérêt et qui devrait permettre à d'aucuns de découvrir un aspect méconnu de l'ouest du Brabant wallon.
(1) «Les moulins dans l'ouest du Brabant wallon: passé - présent», par Yves Devos (avec le Rewisbique) le vendredi 29 mai, à 20heures, chemin du Croly, 11. PAF: 100 F. Rens.: 067-63.82.32 ou 067-63.70.67.
Vincent Fifi, "Les meuniers à l'honneur. Rebecq. Des bords de la Senne jusqu'à... Sydney !", Le Soir, 05.10.2010.
Récent titulaire du mérite wallon attribué par la commune, le cercle d'histoire Le Rewisbique ne se repose pas sur ses lauriers. Les membres travaillent sur une commémoration de la chute d'un Lancaster en 1944 dans la commune et samedi, ils ont inauguré une nouvelle place, en plein centre du village. La placette, située à deux pas de la Senne et des moulins, existe depuis très longtemps mais on ne lui connaissait aucun nom.
Comme on y trouve l'ancienne maison des meuniers, les membres du cercle d'histoire ont eu l'idée de rendre hommage à ces hommes et à leur profession, qui font partie de l'histoire du village. La suggestion a été transmise à la commune, laquelle a consulté la commission de toponymie qui a donné son feu vert. Et voilà comment Rebecq compte une place des Meuniers.
« Le cercle a été fondé en 1994 par quelques amoureux de l'histoire du village, il a été la cheville ouvrière de nombreuses activités et travaux, et l'administration communale ne nous a jamais laissé tomber, remercie le président Gilbert Hautenauve. Même dans des dossiers plus difficiles comme celui de l'hospice. »
Un bel itinéraire
Il est vrai que de leur côté, ces passionnés ne comptent pas leur temps pour valoriser le passé de Rebecq, et donc contribuer au renom actuel de l'entité. Un des membres du cercle, Wilfred Burie, a d'ailleurs présenté un nouvel ouvrage, réalisé au terme de trois ans de recherches. Sous une forme un peu romancée mais se basant sur des centaines de pages de documents historiques, celui qui fut également un des derniers à faire tourner le moulin retrace l'itinéraire d'Edouard Wyvekens, fils et frère de meuniers rebecquois devenu, au milieu du XIXe siècle, le premier consul de Belgique à Sydney.
« Lors des recherches pour écrire mon livre sur les moulins de Rebecq, je suis tombé sur un petit texte évoquant Edouard Wyvekens, explique l'auteur. J'ai essayé d'aller un peu plus loin avec des recherches dans les archives du ministère des affaires étrangères, aux archives du Royaume, à la bibliothèque royale... Et en Australie grâce à l'Internet et à des contacts avec des gens sur place, qui ont pris le projet à cÅ“ur et qui ont accepté de m'aider. »
Paru aux éditions MeMograMes avec le soutien de la commune, « Ambition et Destin, itinéraire du premier consul de Belgique à Sidney », de Wilfred Burie, est vendu 22 euros.
N.C., "Sur les routes en Roman Païs", Le Soir, 13.07.2010.
Rebecq
Les deux moulins à eau situés de part et d'autre des chutes de la Senne, au centre du village, appartenaient aux Seigneurs de Rebecq. L'un d'eux était déjà en action dès la fin du Moyen Âge.
Saintes
Le moulin d'Hondzocht ou de Saintes construit à la fin du XVIIIe siècle est un magnifique moulin tour en briques chaulées, à calotte tournante. Il est classé Monument historique depuis 194
Literatuur
Documents et photos
- Compte de la Maison princière d'Enghien de 1347, dans lequel on mentionne le moulin de "Rebecque"
- Plan du moulin de Rebecq établi en 1731 en vue de réparations
- Plan fait en 1742 pour établir un devis de réparations majeures à apporter au moulin de Rebecq
- Première page du contrat de bail signé par Jean-François Wyvekens, en 1756
- Aquarelle décrivant les moulins de Rebecq tels qu'ils étaient vers 1800 (O. Minne, 1844)
- Première page du dernier contrat de bail signé par Constantin et Sidonie Wyvekens, derniers descendants
de Jean-François, arrivé à Rebecq en 1756 (acte notarié de 1860). Les moulins furent rachetés par Valentin-Joseph Minne au Duc d'Arenberg, en 1968. Dans le partage de ses bien, Valentin-Joseph destine les moulins à son fils aîné Léon-Désiré.
- Les vannes du grand moulin, en 1910
- Le grand moulin, la même époque
- Valentin-Joseph Minne et son épouse Caroline Marsille
- Léon Désiré Minne et son épouse Zoé Devroede, vers 1890
- Peinture représentant Léon Minne. Celui-ci, en compagnie de sa fille Marie, en 1900ekens, en 1756
- Le couple Léon Minne, vers 1913
- Marie Minne et son mari, Léon Lejour - Marie Minne avec ses enfants
- Les vannes des moulins de Rebecq, vers 1900
- Les ouvriers meuniers de Léon Minne, vers 1900
- Publicités du moulin de Rebecq, en 1950
- Les moulins de Rebecq, en 1960
Ouvrages
Herman Holemans, "Kadastergegevens: 1835-1985. Brabantse wind- en watermolens. Deel 8: arrondissement Nijvel (P-Z)", Kinrooi, Studiekring Ons Molenheem", 2003.
M.A. Duwaerts e.a., "De molens in Brabant", Brussel, Dienst voor Geschiedkundige en Folkloristische Opzoekingen van de Provincie Brabant, 1961;
Wilfred Burie, "Moulins de Vie ou deux cents ans d'histoire des moulins de Rebecq", Le Cercle d'Histoire et de Généalogie de Rebec, s.l., s.d. [2006], 120 p., ill.
Persberichten
Vincent Galuszka, "Les moulins du Hainaut sont au... moulin d'Arenberg, à Rebecq", Le Soir, 27.05.1989.
Jennifer Wuilquot, "Rebecq. A la découverte des moulins. Patrimoine de l'ouest: conférence à ne pas manquer", Le Soir, 25.05.1998.
Vincent Fifi, "Les meuniers à l'honneur. Rebecq. Des bords de la Senne jusqu'à... Sydney !", Le Soir, 05.10.2010.
N.C., "Sur les routes en Roman Païs", Le Soir, 13.07.2010.