Grand-Leez (Gembloux), Wallonië - Namen
- Naam
- Moulin Defrenne
- Ligging
- Rue du Moulin à Vent 38
5031 Grand-Leez (Gembloux)
Wallonië - Namen
- Geo positie
- 50.572727, 4.767309 (Google Streetview)
- Eigenaar
- Jean Loise, Grand-Leez
- Gebouwd
- 1830
- Type
- Stenen grondzeiler
- Functie
- Korenmolen
- Kenmerken
- Zetelkap, ajuinvormige kap met staartoversteek
- Gevlucht/Rad
- Gelaste stalen roeden, fabr. Peel (Gistel), 25 meter
- Inrichting
- Drie steenkoppels uit La Fert�-sous-Jouarre met onderaandrijving, buil, graankuiser, elektromotor beneden, vangtype: trommelvang.
- Toestand
- Maalvaardig hersteld in 1988, maar draait niet meer op windkracht
- Bescherming
- M: monument,
17 oktober 1962 - Molenaar
- Jean Loise, Grand-Leez
- Openingstijden
- Pasen tot half oktober, zondagnamiddag (16 u. 30) en op afspraak, tel. 081 64 07 50, GSM 0474 66 68 24; e-mail: informations@moulin-defrenne.be
- Verwijzing
la famillie Defrenne qui le possède toujours depuis cing générations. Bâti en briques chaulées sous toiture en cloche, il est percé d'une porte et de fenêtres à linteau droit.
- Database nummer
- 304
- Internet bron
- Moulin Defrenne
Karakteristiek
Beschrijving / geschiedenis
Le moulin Defrenne est un moulin à vent à farine au Rue du Moulin à Vent 38 à Grand-Leez
Il fut construit en 1830 par les époux Sevrin-Heurion. Charles Sevrin était né à Grand-Leez le 24 brumaire de l'an 12 et son épouse Julienne Heurion y était née le 8 ventose de l'an 10 de la République. Vraisemblablement, afin de bâtir son moulin, Charles hérita de ses parents, propriétaire de la ferme située au bas du côtée, appelée courammant la ferme du "grand T'Chaurly" ou encore la Marache, une parcelle de terrain faisant partie de leur propriété.
Le 27 juillet 1870, par l'étude du notaire Burlet sise n°1, rue du Bordia, à Gembloux, le moulin à vent et le terain d'une contenance de 12a 48ca, furent acquis pour la somme de 8.440 franc par Charles Defrenne et son épouse Anne-Joseph Hemptinne.)
Le 1er août 1900 le journal "L'ami de l'Ordre" rapporte ce qui suit: "Lundi après-midi, le feu a complètement détruit le moulin-à-vent de Mme Ferdinande Conard (veuve de Henry Defrenne) de Grand-Leez. Celui-ci était couvert de carton bitumé et c'est à la toiture que le feu prit naissance. On croit se trouver en présence d'un cas de combustion spontanée résultant de la chaleur solaire. Les dégats sont estimés à plus de 30.000 francs. Ils ne sont pas couverts par l'assurance."
Afin de restaurer le moulin sinistré, les propriétaires se rendirent à Céroux-Mousty afin de récupérer une grande partie des accessoires du moulin Lorge qui y étaient entreposés depuis 1888. Le "Moulin Lorge" se situait n° 45, rue de La Converterie. Devenu ce que l'on appelle un moulin tronqué, il est depuis de nombreuses années transformé en habitation. Récupérées en Campine, les deux pales furent, avec bien des aléas amenées sur la butte du moulin.
L'Administration Communale de l'époque fit un geste vis-à-vis de la veuve Defrenne en lui allouant un lot de chênes à abattre dans le bois de notre localité. De nombreux Grand-Leeziens mirent la main à la pâte et apportèrent à la famille Defrenne, outre leur sympathie, une aide efficace et désinterressée.
Campé à une altitude de 170 mètres, au sommet d'un monticule situé sur la gauche du chemin qui relie Grand-Leez à Petit-Leez, ce moulin-à-vent circulaire et tabulaire, construit en briques chaulées, remonte à 1830 selon certains et 1840 pour d'autres. L'épaisseur de la maçonnerie à la base de cette bâtisse de 12 mètres de diamètre est de 1,20m. Elle est réduite à 80cm au haut du fuseau. Deux portes massives et des fenêtres à linteau droit transpercent cet ouvrage.
Deux ailes de 25m d'envergure sont les éléments primordiaux qui assurent le fonctionnement de ce moulin. L'axe central destiné à entraîner son mécanisme rudimentaire n'est autre que le fût d'un chêne provenant du bois communal. Ce tronc taillé à la main, d'une hauteur de 8 m est considéré à juste titre comme l'âme de ce vénérable patriarche.
A l'arrière du moulin, un dispositif fixé au quai de transbordement et relié à la coupole mobile permet au meunier d'orienter celle-ci afin de mettre les ailes en position propice, c'est-à-dire dans le sens du vent. Sa coiffe, autrefois protégée par du carton bitumé est depuis sa restauration, recouverte d'ardoises naturelles.
Ce moulin-à-vent était doté de trois paires de meules en pierre naturelles, de diamètre respectif de1,60m, 1,41m et 1,30m taillées à la Ferté-sous-Jouarre, en France. La plus grande paires de meules, toujours en activité, accuse un poids de 2.636 kilos. Depuis le grave accident du meunier, ces meules sont retaillées au burin par un spécialiste. Ce moulin artisanal produit 160 kilos de farine à l'heure alors que les moulins industriels en produisent 52 tonnes.
Au fil du temps, les meules circulaires en pierre naturelle permettant la mouture artisanale de froment furent actionnées successivement grâce au vent, à la machine à vapeur, au gazogène vers 1900 et à l'électricité depuis 1929.
En 1962 le moulin est classé par la commission des sites et Monuments, le moulin Defrenne fut, dès 1984 soumis à une série de réparations importantes. A coups de millions, la Communauté Francaise, la Province, la Commune et les propriétaires du moulin unirent leurs efforts afin d'effectuer les travaux nécessaires pour la sauvegarde d'un des derniers moulins de Wallonie. Au vu des organismes venus épauler les propriétaires du moulin de Grand-Leez, il faut dire que celui-ci mérite une place dans notre patrimoine et qu'il reste cher au coeur de ceux qui ne veulent pas que tous les témoins d'une époque disparaissent à tout jamais sans laisser la moindre tracé.
Quelques dates
28 octobre 1984: on enlève les ailes.
20 décembre 1985: la nouvelle coiffe est posée
13 septembre 1990: les nouvelles ailes sont fixées.
26 avril 1991: le moulin est entièrement rénové, ses ailes majestueuses, garnies de nouvelles voilures peuvent à nouveau fendre l'air à une cadence réglée par la main experte du meunier.
Au départ, ce moulin-à-vent fut, comme son nom l'indique, dépendant de Eole, le roi des vents. Plus tard, la machine à vapeur et le gazogène l'entraînèrent vaillamment. Depuis 1929, le moteur électrique a pris le relais. Connu à des lieues à la ronde, le "moulin Defrenne" est un des rares moulins à se prévaloir d'être encore en ordre de marche et de tourner au gré du vent.
Ce moulin à vent est le dernier encore en activité de la Province de Namur. Il est classé depuis 1962, mais sa construction remonte à 1830 et il fonctionna successivement au vent, à la machine à vapeur, au gazogène et actuellement à l'électricité. Le Moulin Defrenne, dont l'accès est balisé, dresse fièrement ses ailes non loin du centre de Grand-Leez. Les meuniers, André Loise-Defrenne (1921-2011) étaient propriétaires et exploitants. Ce sont eux qui vous accueillent, c'est la cinquième génération des Defrenne depuis 1830 qui fait tourner les ailes du moulin.
Pour une visite individuelle, le moulin est accessible au public tous les dimanches à 16h30. Visite du Moulin: 3€ par personne. Durée de la visite: 30 à 45 minutes. Info: tél. : 081 64 07 50 ou 0474 66 68 24; e-mail: informations@moulin-defrenne.be). Etablissement fermé du 01/01 au 15/01 et du 15/06 au 30/06.
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De Moulin Defrenne, genoemd naar de eigenaars-molenaars, is een stenen graanwindmolen, type stenen grondzeiler, aan de Rue du Moulin 38. Hij is de laatste complete windmolen van de provincie Namen.
De molen werd gebouwd in 1830 door het echtpaar Charles Sevrin - Julienne Henrion en kwam op 27 juli 1870 in het bezit van de molenaarsfamilie Defrenne (akte notaris Burlet, Gembloux)
De molen brandde uit op maandagnamiddag 30 juli 1900. Men recupereerde vele onderdelen van de nabijgelegen Moulin Lorge (rue de la Couverterie), die opgeslagen lagen in Céroux-Mousty.
De molen heeft een cirkelvormige omgang met een diameter van twaalf meter. De muren zijn 1,20 meter dik ter hoogte van de grond en 80 centimeter dik ter hoogte van het bovenhuis. De molen heeft drie paar maalstenen. De zwaarste maalsteen weegt 2636 kilogram en is nog steeds in gebruik. De metalen geklinknagelde roeden werden gehaald uit een Kempense molen. Ze werden in 1903 geplaatst ter vervanging van de houten pestelroeden. De roeden werden in 1990 vernieuwd (gelast, fabr. Peel - Gistel), hebben een spanwijdte of wiekdiameter van 25 meter. De centrale aandrijfas bestaat uit de stam van één enkele eik uit het Bois de Grand-Leez. Molenaar André Loise vertelt dat de wieken een windkracht van 5 tot 7 beaufort (hetzij 28 tot 39 km/uur) nodig hebben om 9 toeren per minuut te draaien. De ideale cadans is 15 toeren per minuut en het maximum aantal toeren bedraagt 22. In normale werkomstandigheden kan de molen 160 kilogram meel per uur leveren, wat bijzonder weinig is in vergelijking met de productie van 52 ton meel per uur van industriële maalderijen.
Al vrij vroeg deed men een beroep op een stoommachine om bij windloosheid toch te kunnen malen. Deze werd vervangen door armengas. Sinds 1929 werd elektrich gemalen.
Toch hield de familie Defrenne de windmolen steeds in ere. Op 17 oktober 1962 geraakte de molen beschermd als monument. De familie Loise-Defrenne zag wat in de toeristische ontsluiting van de molen. In het vroegere molenhuis werd een gezellige taverne ingericht, waar men het "molenbrood" kan kopen. Op zondagnamiddagen worden maaldemonstraties gehouden.
In 1988-'90 werd de "Moulin Defrenne" met overheidssteun vakkundig hersteld door de firma Peel uit Gistel (architect: Jacques Willam, Gembloux). De bakstenen romp werd hervoegd en opnieuw gewit. Volledig vernieuwd werden o.m.: het omgaand basismuurwerk, de streekeigen saracenerkap (met kapelvormige oversteek om de staart te beschermen), het kruiwerk, de roeden. De vroegere geklinknagelde Verhaeghe-roeden werden vervangen door gelaste stalen roeden, fabricaat Peel uit Gistel.
Twee van de drie steenkoppels kunnen thans met een elektromotor in werking gesteld worden. Malen op windkracht gebeurt helaas niet meer.
Op 20 september 1995 gebeurde een ernstig ongeval. Molenaar André Loise-Defrenne (1921-2011) werd op de eerste zolder gegrepen door een draaiende machine. Gelukkig was ook zoon Jean Loise in de molen aanwezig. Die kon de machine onmiddellijk stilleggen en heeft daardoor ongetwijfeld het leven van zijn vader gered.
De molen werkt thans enkel op elektriciteit.
De bezoekers worden op zondag vriendelijk onthaald en krijgen uitleg over de werking van de molen. De smaakvol ingerichte taverne in het molenhuis doet zeker geen afbreuk aan de prachtige molensite. Voor een individueel bezoek is de molen toegankelijk voor het publiek op elke zondag om 16.30 uur. Bezoek aan de Molen: € 3 per persoon. Duur van het bezoek: 30 tot 45 minuten (Tel: 081/ 64 07 50 of 0474 66 68 24; e-mail: informations@moulin-defrenne.be. Molen dicht van 01/01 t/m 15/01 en van 15/06 tot en met 30/06
Lieven DENEWET
Aanvullende informatie
Gilles Béchet, "Le moulin tourne encore, parfois à toute voilure", Le Soir, 09.12.2005.
A Grand-Leez se dresse le dernier moulin à vent en activité du Namurois. Et des histoires de métier, André et Jean les meuniers peuvent vous en raconter. Tant et plus.
Au moulin Defrenne, on est meunier depuis cinq générations. André, 84 ans, a mis la main dans la farine en 1948 en épousant la meunière. Il a appris le métier avec son beau-père et n'a plus lâché le moulin qui fait tourner ses ailes à Grand-Leez depuis 1830.
Sa plus grande fierté, c'est de continuer à moudre, par plaisir plus que par nécessité. A toute voilure quand le vent souffle. Heureusement, il peut compter sur un moteur électrique pour les jours où Eole est au repos. « Pour emporter les ailes et faire tourner les meules, de 1500 kilos chacune, il faut un vent de 5 Beaufort, ce qui n'arrivait en moyenne que 96 jours par an.»
Quand le meunier ne pouvait compter que sur la force du vent, il devait être disponible. Quitte à moudre jour et nuit, jusqu'à fermer les yeux d'épuisement. Voilà d'où vient la chanson : «Meunier tu dors?». Des anecdotes et des histoires de métier, André en connaît des centaines qu'il raconte aux visiteurs du dimanche. «Savez-vous pourquoi ce moulin est percé de deux portes face-à-face?» Avec une seule porte, on serait bien embêté quand le vent vient du Nord et que le passage est bloqué par des ailes qui balaient à 80km/h à ras du sol.
Victime d'un accident de travail, il y a quelques années, André a eu les jambes broyées par la transmission. Mais il n'en veut pas à son moulin. C'est même lui qui le tient encore debout. Son fils, Jean, qui respire la farine depuis son enfance poursuit la tradition familiale.
Son moulin le tient debout
Le rez-de-chaussée, c'est la pièce de travail du meunier. Comme on n'y dort plus depuis longtemps, le lit a disparu sous l'escalier. Pour moudre au vent, le meunier s'asseyait face à la buse en bois qui déverse la farine dans un sac. Passant les doigts dans la farine, il appréciait la finesse de la mouture. Le meunier est un homme de toucher et d'oreille. Comme un marin à la barre de son voilier, il actionnait des cordes pour régler l'écartement des meules en fonction de la force du vent. «L'oreille est essentielle pour détecter les bruits anormaux du mécanisme. C'est pour cela que mon beau-père a pu continuer à travailler quand il est devenu aveugle.»
L'étage des meules, enfermées dans leur coffrage de bois, c'est la salle des machines avec au centre le puissant axe de bois qui s'élance jusqu'au toit. Dans une petite niche, une effigie de Sainte-Catherine veille sur la mouture. En levant les yeux, on voit l'impressionnante roue dentée qui fait tourner le toit du moulin.
De là-haut, au début du XXe siècle, Jean Defrenne, 3e du nom, comptait encore dix-sept moulins plantés dans le paysage. Aujourd'hui, on en compte une trentaine en Belgique, dont une poignée seulement continuent à moudre. Avec ses 300 kilos à l'heure pour deux meules, un moulin à vent ne peut rivaliser avec une minoterie industrielle qui peut pulvériser jusqu'à 56 tonnes à l'heure.
Comme souvent, c'est la quantité au détriment de la finesse. «La mouture industrielle échauffe la farine. Ici il n'y a qu'un seul passage, en douceur. Avec du pain frais, on ne perçoit pratiquement pas de différence, mais la farine artisanale donne au pain rassis de deux ou trois jours un délicat goût de froment.» assure Jean. Le meunier n'est pas prêt de fermer l'oeil.
PRATIQUE
Où? Moulin Defrenne, 36, rue du Moulin-à-Vent, 5031 Grand-Leez
Tel : 081/64 07 50
Y aller. Compter 60 km depuis Bruxelles. Accès fléché par la N29 (à 5 km de Gembloux). Sortie 11 sur l'E411.
Activité. En basse saison, la visite du moulin est limitée aux groupes de trente personnes minimum, uniquement sur rendez-vous. Mais le dimanche, à 16h30, visite individuelle possible. Et la taverne est ouverte tous les dimanches dès 14h30. On y est accueilli par les meuniers qui proposent, entre autres, des tartines de pain-maison et des tartes campagnardes.
Corinne Bodart, "Un bon truc à connaître: épouser la fille du meunier . Grand-Leez", Le Soir, 22.09.1999.
Datant de 1830, et classé monument historique depuis 1962, le moulin de Grand-Leez (Gembloux) est le dernier moulin à vent en activité dans la province de Namur.
Et ce, grâce à la volonté de la famille Defrenne qui, de génération en génération, n'a jamais cessé de faire tourner les ailes et les meules de son patrimoine.
Le moulin de Grand-Leez a toujours appartenu à la famille Defrenne, explique André Loise-Defrenne, meunier.
Depuis 170 ans, le métier de meunier se transmet de père en fils. Dans mon cas, de beau-père en beau-fils. Je représente la cinquième génération de meunier. Mon fils, la sixième. Et j'espère bien que ma petite-fille sera la septième génération!
André a presque 80 ans et cela fait plus de 50 ans qu'il moud du froment. Aujourd'hui, cette activité seule ne permet plus de subvenir aux besoins d'une famille. Aussi, lui et sa femme ont-ils décidé d'ouvrir les portes de leur patrimoine. Une activité qui leur permet de vivre et surtout de faire vivre leur héritage.
Tous les dimanches, nous ouvrons les portes du moulin aux visiteurs. Parfois ils sont huit, parfois ils sont cinquante. Le reste du temps, nous ouvrons sur rendez-vous pour les groupes et les écoles.
Bien que ce soit maintenant Jean, le fils d'André, qui s'active autour des meules en pierrelors des visites, c'est toujours son père qui fait les commentaires. Mon fils m'a dit: «Tant que tu es là, tu parles». C'est ce que je fais
Vous savez, le métier de meunier, ça ne vous lâche pas. On a ça dans le sang. Un vrai meunier est amoureux de son moulin et de son travail.
Pourtant, ce travail lui aura coûté une jambe. Mais pas son sens de l'humour. Lorsqu'on lui demande, pendant une visite, comment il a fait pour avoir un moulin, sa réponse fuse instantanément: J'ai épousé la fille du meunier.
Renseignments et réservations au 081-64.07.50.
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Ode du moulin à son meunier
L'autre jour, je passais près de ton moulin
Le vent, dans ses ailes, chantait ce refrain:
André, mon cher André, toi qu 'incidemment j' ai meurtri,
Je veux que tu saches que mon amour pour toi est infini,
Quand, chez moi,avec ton coeur tu reviendras,
Vers toi, toute l' âme du moulin s' envolera,
Les amis du moulin sont tous tes amis,
Ils n' attendent qu 'une chose, que tu sois vite rétabli,
N' oublie pas non plus que ta famille t' adore,
Que leur amour pour toi est plus fort encore,
Ton fils, avec courage, d' une mort certain ta sauvé,
Grâce à lui, longtemps tu regarderas encore mes ailes tourner,
Ton moulin qui t' attend, les ailes ouvertes.
Composée en octobre 1995 par Gaston Meeuwis
pour André Loise hospitalisé suite à un accident
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Monsieur André LOISE
Résidence: Gembloux
°Date de naisance: 28.08.1921 (Grand-Leez)
+Date de décès: 08.07.2011 (Gembloux)
Le soir venu, Jésus dit :
"Passons sur l'autre rive".
Saint Marc
Michel et Monique POLOMÉ-LOISE,
Jean et Simone LOISE-VANDERAVERO,
ses enfants;
Delphine POLOMÉ et Michaël BARREAUX,
Dimitri et Stéphanie HENROTTE-LOISE,
Jean-François POLOMÉ,
ses petits-enfants;
Emma et Tom JACQMIN,
Léo HENROTTE,
ses arrière-petits-enfants;
Les familles LOISE, DEFRENNE et apparentées
ont la profonde tristesse de vous faire part du décès de
Monsieur André LOISE
veuf de Madame
Jeanne DEFRENNE
né à Grand-Leez le 28 août 1921 et décédé à Gembloux le 8 juillet 2011.
La messe de funérailles, suivie de l'inhumation, aura lieu en l'église de Grand-Leez, le jeudi 14 juillet à 10 heures 30.
Réunion à l'église.
Un ultime témoignage de sympathie pourra lui être rendu au funérarium II des Pompes funèbres Libaux, salle mortuaire C, rue Gustave Masset, 33 à Gembloux, ces lundi 11, mardi 12 et mercredi 13 juillet de 17 heures à 19 heures.
5030 Gembloux, rue de Lonzée, 189.
5031 Grand-Leez, rue du Moulin à Vent, 38.
Source: L'Avenir, L'Avenir (Le Jour)
Literatuur
Sources imprimées / Gedrukte bronnen
L'ami de l'Ordre (journal), 01.08.1900 (feu du moulin)
Ouvrages / Werken
Philippe Vandermaelen & Dr. Meisser, "Dictionnaire géographique de la province de Namur", Bruxelles, 1832, p. 166.
Lieven Denewet, "De prachtige restauratie van de "Moulin Dufrenne" te Grand-Leez: de laatste volledige windmolen van de provincie Namen", in: Molenecho's, XIX, 1991, nr. 1, p. 8-11;
John Verpaalen, "Molennieuws van her en der [Zingem, Balegem, Grand-Leez, Sint-Lambrechts-Woluwe en Wildert], in: "Levende Molens", jg. 8 (1986), nr. 8, p. 62-63, ill.;
Maurice Durviaux, artikel in het tijdschrift "Chez nous à Grand-Leez`, nr. 72, 1999.
"A la recherche du temps passé - Les moulins d'autrefois", in: Le Sillon Belge, 25 mai 2007, p. 10, ill.
"Au souffle du vent tournent les ailes du moulin de Grand-Leez", Silon Belge, 21.03.2008.
John Verpaalen, "Ernstig ongeluk op molen van Grand-Leez", Levende Molens, 1996, nr. 2 (feburari).
John Verpaalen, "Dankwoord André Loise", Levende Molens, juli 1996.
Gilles Béchet, "Le moulin tourne encore, parfois à toute voilure", Le Soir, 09.12.2005.
Corinne Bodart, "Un bon truc à connaître: épouser la fille du meunier . Grand-Leez", Le Soir, 22.09.1999.